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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 14:24

CHACUN PEUT FAIRE UN GESTE POUR PROTÉGER L'EAU

Il est interdit de jeter des produits polluants dans les éviers, les toilettes ou les regards d'évacuation.

En particulier :

  • Les médicaments périmés ou entamés. Des circuits de collecte de médicaments existent (Cyclamed). Renseignez-vous auprès de votre pharmacien.
  • Les restes de désherbants ou d'engrais utilisés pour le jardinage
  • Les produits contre les rongeurs (rats, souris) ou contre les limaces, etc....
  • Les huiles de vidange neuves ou usées (rapporter les bidons non utilisés ou recueillir les huiles usées dans des bidons et les apporter chez le garagiste où un circuit de collecte spécial existe souvent)
  • Les hydrocarbures, essence à détacher, essence de térébenthine, etc.
  • Les fonds de pot de peinture, de produits pour vernir les bois, etc.
  • Les insecticides domestiques et les produits pour protéger les bois des insectes, etc.
  • Laver les voitures dans le jardin car le lavage entraîne des hydrocarbures et des particules polluantes (dues aux gaz d'échappement) qui sont rejetés directement dans la nature. Les garages, les stations-service ou les stations de lavage sont, dans la plupart des cas, reliés aux stations d'épuration des eaux usées. Vérifiez auprès de votre mairie si le lavage dans la rue est autorisé ou non.
  • Jeter dans la cuvette des toilettes les lingettes (même si c'est conseillé par le fabricant !) : leurs fibres peuvent altérer le bon fonctionnement des installations d'assainissement, entraîner le changement fréquent de pièces et donc augmenter le coût de l'assainissement.
  • • Evacuer l'eau de pluie des gouttières de la maison dans les collecteurs d'eau usées si vous êtes raccordé à un réseau séparatif ou si vous avez une installation d'assainissement autonome
  • L'utilisation des broyeurs d'ordures ménagères reliés à la conduite d'évacuation des eaux est également interdite.

Faire le bon geste

• Respecter ces conseils et la réglementation
Utiliser les produits d'entretien ou de jardinage biodégradables ou indiquant qu'ils sont sans nuisance pour l'environnement
Entretenir régulièrement les dispositifs d'assainissement autonome.


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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 17:14

eau-milieux-aquatiques-avis.jpg

 

Les Comités de Bassins français vous ont interrogés sur l'avenir de l'eau et des milieux aquatiques en publiant une enquête entre de novembre 2012 à avril 2013. Vous avez été nombreux à répondre.

Voici les résultats officiels :

Bonne lecture, n'oublions pas l'eau c'est la vie !

protégeons-la à chaque instant....

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28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 21:20

580 €. C’est le montant des frais pouvant être réclamés, en toute illégalité, par des agences immobilières auprès d’un locataire sur une période de cinq ans[1] : facturation de la quittance, frais de relance, de clôture des comptes, d’archivage… C’est pourquoi nous ne pouvons que nous réjouir des annonces
de la ministre du Logement.

 

En effet, il est temps d’assainir réellement cette profession qui a montré son incapacité à s’autoréguler et à faire le ménage parmi ses membres, contrairement à ce qu’elle indique depuis de nombreuses années. Certes, les différents abus que l’on peut constater ne sont pas imputables à l’ensemble de la profession, mais ils n’en sont pas moins intolérables. C’est pourquoi la création d’instances spécifiques chargées de contrôler les activités des professionnels de l’immobilier et, le cas échéant, de les sanctionner, est plus qu’un besoin, c’est une nécessité. C’est d’ailleurs pour cela que nous en demandons la création depuis maintenant plusieurs années. Bien évidemment, les représentants des consommateurs devront y avoir une place, sans quoi, ces commissions perdraient toute crédibilité.

 

Concernant l’encadrement des honoraires, tant en matière locative qu’en copropriété, nous pensons qu’il s’agit d’une mesure qui améliorera la transparence dans les relations professionnel-consommateur et qui mettra fin à de nombreux abus et désagréments : honoraires de location exorbitants, liste non limitative de prestations exceptionnelles en copropriété, difficulté de comparer plusieurs contrats de syndics…

 

Finalement, le projet de loi en cours d’élaboration et qui devrait être présenté dans les jours à venir, semble, du moins sur ces sujets, aller dans le bon sens. Loin de « dégoûter les propriétaires », comme d’aucuns le pensent, ce texte permettra, au contraire, de rétablir la confiance entre le consommateur et les professionnels, lesquels n’ont pas su démontrer qu’ils pouvaient apporter une réelle plus-value.

 

Nous espérons que ce projet de loi puisse être soumis rapidement au Parlement et ne manquerons pas de porter auprès du législateur nos remarques et observations.

 

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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 08:56

 

stopBPAjpg.jpgAprès trois années de travail, l’Anses vient de publier un avis important sur les risques liés au Bisphénol A (BPA). Rappelons que le BPA est à la base de la fabrication du polycarbonate, un plastique employé dans de nombreux objets de la vie courante (CD, lunettes, pièces auto) mais aussi dans des emballages alimentaires : biberons, bouilloires, bonbonnes d’eau, revêtement intérieur de certaines boîtes de conserve ou canettes.

 

Le travail de l’agence s’est focalisé sur les enfants à naître, faute de données toxicologiques suffisantes sur les autres catégories de la population. Il apparaît que l’exposition des fœtus au BPA pourrait avoir des conséquences à long terme sur divers organes ou fonctions biologiques. Les experts ont qualifié de « négligeables » les risques pour le cerveau, l’appareil reproducteur femelle ou le métabolisme. En revanche, ils soulignent un risque sur le développement ultérieur de cancer du sein. Ce résultat n’est certes pas démontré de façon incontestable mais il présente un niveau de confiance qu’une majorité des experts a qualifié de « modéré ».

 

L’Anses a également quantifié les principales sources d’exposition au BPA, confirmant le rôle majoritaire de l’alimentation (84% de l’exposition pour la femme enceinte) devant les voies respiratoires et cutanées. Avec 50% de l’exposition totale, les aliments en conserve apparaissent comme des contributeurs majeurs. Il est par ailleurs préoccupant de constater qu’il existerait une contamination large des aliments dont l’origine est non identifiée mais qui contribuerait à 25% voire 30 % de l’exposition totale

 

Ce nouvel avis vient confirmer la nécessité de réduire l’exposition de la population au BPA, nécessité qui s’est traduite en France par l’adoption d’une loi interdisant ce matériau dans les emballages alimentaires à compter du 1er janvier 2015. Compte tenu de la nouvelle évaluation réalisée par l’Anses, cette échéance est pour la CLCV trop tardive et nous demandons aux parlementaires et au gouvernement de la ramener au 1er janvier 2014.

 

D’ici là, la CLCV appelle les professionnels et les pouvoirs publics à se mobiliser pour développer des alternatives fiables et correctement évaluées au BPA. A cet égard, le remplacement dans les tickets de caisse du BPA par le BPS, qui présente des caractéristiques chimiques très voisines, est l’exemple même à ne pas suivre. Nous demandons également un étiquetage des produits alimentaires contenant du BPA afin d’assurer l’information des consommateurs. Enfin, compte tenu des échanges de produits alimentaires au sein de l’Union européenne, il est indispensable de travailler à une harmonisation communautaire de l’évaluation et des règles encadrant cette substance.

Dossier suivi par Charles Pernin

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 19:32

Charles PERNIN, chargé de mission à la CLCV, nous informe :

 

La CLCV vient de porter plainte contre X auprès du Parquet de Paris dans l’affaire de la viande de cheval.

Ce scandale d’une ampleur sans précédent où se mêlent pratiques frauduleuses et négligences multiples ne doit évidemment pas en rester là.

En tant que représentant des consommateurs, nous demandons à la justice de faire toute la lumière sur les responsabilités des uns et des autres et de prendre les sanctions qui s’imposent.

 

Mais l’action de la justice ne règlera pas tout et il importe d’éviter que ce scandale ne soit vu simplement comme « une crise de plus » par les professionnels et les pouvoirs publics.

 

Pour cela, il convient d’en tirer les enseignements et de faire évoluer les pratiques en profondeur.

 

C’est pourquoi nous demandons :

 

-      Un étiquetage de l’origine nationale des ingrédients « principaux » des produits transformés (1) ;

 

-      Un audit indépendant des systèmes de contrôle en Europe ;

 

-      Un renforcement des contrôles officiels et, en tout état de cause, un coup d’arrêt aux politiques qui visent à déléguer les tâches d’inspection officielle aux professionnels eux-mêmes ;

 

-      Un renforcement des sanctions en cas de fraude et une publicité de ces sanctions ;

 

-      La mise en place d’indicateurs fiables, exhaustifs et transparents sur la pression de contrôle dans le secteur agroalimentaire.

 

L’enjeu est de taille car cette affaire n’est pas un cas isolé.

Les récentes révélations sur la viande de mouton non conforme ou les cas de remballe n’ont fait que saper davantage la crédibilité de tout un secteur.

 

Sans un effort réel de transparence, les filières agroalimentaires ne parviendront pas à regagner la confiance des consommateurs.

 

(1) On entend par ingrédients principaux ceux qui sont mis en avant sur le produit (ex : lasagnes à la viande de boeuf) et/ou ceux dont les proportions cumulées représentent 50% du poids du produit.

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6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 10:15

 

Logo-CLCV-Carre-reduit.jpg

 

Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février 2013 dans 133 établissements.


mieux-vivre-votre-argent 609

 

Soit  la quasi-totalité de la banque de détail en métropole et outre-mer.

La facture annuelle des frais est calculée, pour trois profils types de consommateurs, sur les prix des services à l’unité et sur une facturation dans le cadre des offres groupées de services, les packages.


Au total, ce sont 26 000 lignes tarifaires qui ont été analysées.

 

Les résultats détaillés sont disponibles sur le site de la CLCV, www.clcv.org,  et de Mieux Vivre Votre Argent, www.votreargent.fr,

 

Vous pouvez voir directement les pages concernant la région Bretagne


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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 12:50

 

 mail.google.comDans le cadre de son 60ème anniversaire, la CLCV a donné la parole aux consommateurs et usagers. Elle a ainsi recueilli le sentiment de plus de 5 000 d’entre eux, à travers ses diverses enquêtes dans les domaines de la consommation, du logement, de l’environnement et des transports.


 

 Il en ressort, un certain nombre d’informations particulièrement intéressantes comme :


- des inquiétudes sur les prix et sur la qualité des produits et services ;


- 30 % des personnes interrogées déclarent avoir de mauvaises ou très mauvaises relations avec leurs bailleurs et 38 % avec leur syndic ou agents immobiliers ;


- conséquence de la crise du logement : 80 %  des locataires interrogés déclarent qu’il est difficile de changer de logement (aussi bien dans le secteur privé que social) ;


- 90 % des répondants disent avoir déjà adopté des gestes en matière de tri des déchets et d’économie d’énergie….


 Ces enquêtes confirment le souhait des consommateurs de disposer de réels moyens face aux pratiques des professionnels - ils plébiscitent la mise en place d’une action de groupe -et nous permettent d’avancer de nombreuses propositions.

 

Retrouvez l’intégralité des résultats en pièce jointe… 

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 17:49

Toujours autant sollicités par les usagers des transports ferroviaires qui se plaignent des tarifs, de la ponctualité, de leur situation de client captif etc, nous sommes, comme en 2011, aller à la rencontre des voyageurs dans les trains pour recueillir leur avis.

676 personnes enquêtées sur de nombreuses lignes différentes nous donnent ainsi un instantané intéressant de l’appréciation des consommateurs ainsi qu’une comparaison intéressante avec l’enquête réalisée en 2011.


On peut notamment constater que :

- 88% des sondés trouvent les prix trop chers ou chers (43,3% des consommateurs questionnés jugent le prix du transport en train trop cher, et 45,1% le jugent cher). Seuls 10,7% considèrent le niveau de prix comme correct.

- l’information sur les tarifs et la structure tarifaire apparait opaque pour 27,1% des sondés, et insuffisante pour 40,2%. Malgré une légère amélioration constatée par rapport à l’enquête 2011, la situation demeure peu satisfaisante en l’état.

- de manière générale, les améliorations attendues par les voyageurs portent sur la baisse des prix (48%), la ponctualité (27,3%), l’amélioration des fréquences (15,3%) et du confort (8,4%)


On notera cependant un élément positif pour la SNCF, l’accueil en gare jugé satisfaisant ou très satisfaisant par 80% des personnes sondées. C’est sans doute le résultat d’une prise de conscience de l’entreprise publique au cours de ces dernières années.


Cette enquête confirme le risque de perte d’attractivité du train par les consommateurs et ce malgré les priorités affichées en faveur de ce dernier par les pouvoirs publics. Les consommateurs enquêtés pointent du doigt l’opacité de la tarification (les bons plans étant souvent réservés aux internautes avertis) mais également la question des retards avec une information en temps réelle absente et une indemnisation du préjudice subi insuffisante.


Sur la tarification, on rappellera la récente étude de la CLCV (13 juillet 2012) portant sur 720 tarifs et 24 destinations et soulignant des tarifications au kilomètre fort disparates selon les trajets et un tarif au kilomètre en moyenne 25% plus élevé pour des destinations au départ des villes en régions par rapport à Paris.

Lire les résultats de l'enquête

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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 08:20

 

La CLCV Bretagne participe au collectif « Peuple des dunes en Trégor », contre l’extraction du sable coquillé dans la baie de Lannion.


 

le 13 mai 2012


sur la plage de Tresmeur à Trébeurden

3000 personnes ont dit  NON

 

   macareux.jpg

A l'extraction du sable coquillier en baie de Lannion.

Le collectif "Peuple des dunes en Trégor" (45 associations) organisait le dimanche 13 mai 2012 une grande manifestation sur la plage de Tresmeur, à Trébeurden.

Il s'agissait pour le collectif de s'opposer au projet d'extraction de sable coquillier en baie de Lannion porté par la Compagnie armoricaine de navigation ou CAN (groupe Roullier).

 Qualifié de «rassemblement citoyen», cet événement soutenu par Lannion-Trégor Agglomération et treize communes littorales entendait faire pression sur les services de l'État pour qu'aucun titre minier ne soit délivré à l'exploitant qui fournit, entre autres, de l'amendement à l'agriculture bretonne.

Environ 3.000 personnes ont répondu à l'appel.

Estimant que le gisement de sable coquillier est trop près de la côte (6,7km de Trébeurden), le Peuple des dunes motive sa position par deux impératifs : la préservation de l'environnement et la défense de la pêche et de la plaisance.

La CAN estime que la procédure, parfaitement contrôlée (le commissaire enquêteur n'a pas mis de veto), ne rimera pas avec saccage du milieu naturel. Une réponse contestée par Alain Bidal, président du collectif.

Pour approfondir le sujet, vous trouverez ci-dessous quelques vidéos explacatives :

Allain Bougrain-Dubourg : "Un projet surréaliste"

Nous utiliserons tous les procédés légaux contre le projet

Projet d'extraction de sable : manifestation dimanche

 

 

Pour signer la pétition :

http://lepeupledesdunes.com/spip.php?article8

 

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29 juin 2012 5 29 /06 /juin /2012 19:38
logoCLCVréduit

 La CLCV, CONSOMMATION LOGEMENT & CADRE de VIE,

lance à l'occasion de son soixantième anniversaire une enquête nationale sur la consommation.

 

Cette enquête est ouverte à tous, copiez-la et renvoyez-la à

CLCV,  59, boulevard Exelmans
75016 PARIS

 mail.google.com.png
  1.jpg Cliquez sur l'image pour l'agrandir
 

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bretagnerose2CLCV BRETAGNE est un maillon du réseau national. C'est 20 associations à la disposition des citoyens de cette région, riche de 3,12 millions d’habitants. Présente sur tous les fronts, tant dans la résolution des litiges concernant le logement, la consommation et le cadre de vie, elle est aussi force de proposition dans de multiples commissions consultatives ou décisionnelles de niveau régional, départemental et local

 

C’est un réseau militant de plus de 3000 adhérents, 15 salariés et 170 bénévoles effectuant annuellement plus de 8000 heures de permanence.

Son territoire de compétence est celui de la Bretagne réparti sur

21 Pays.

 

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